La camionnette, le film culte (remastérisé iA) (123)

LE FILM A ÉTÉ REMASTÉRISÉ PAR L’IA

Je suis assise au bistrot en attendant qu’Attila me rejoigne. Il arrive avec un ami. Ça me fait super plaisir de le revoir.

En principe Attila avait prévu de me rendre visite dans la chambre d’hôtel. Mais tout à coup, les mecs parlent de s’amuser dans la camionnette. Qui a eu cette idée folle ? Je crois c’est Vincent qui a commencé à en parler. Il est fou ! Mes deux complices sont tout de suite partants et on monte alors tous dans la camionnette d’Attila, qui est garée juste à côté du bistrot. C’est sa voiture de travail. Si les gens qui nous voient monter dedans savaient ce qu’il va s’y passer …

Après un court trajet, Attila se gare sur un parking public, en plein centre-ville. Il y a des gens partout. Le parking est bien fréquenté. On monte tous ensemble dans la camionnette vide et on ferme la porte coulissante. Elle n’a pas de vitres et il fait tout noir. Vincent sort son portable, qui est équipé d’une bonne lampe-torche. La lumière éclaircit tout et permet même de filmer avec une qualité incroyable. Même si le plan dans la camionnette n’était pas prévu et que Vincent n’a pas sa caméra sur lui, il est hors de question de ne pas filmer cette aventure.

Je ne suis pas dans une tenue sexy, mais en robe et leggings, mais qu’est-ce que l’on s’en fout. De tout de façon je me retrouve toute nue en quelques secondes. Je commence à m’occuper des deux mecs. Attila bande comme un taureau et il s’amuse à me faire des gorges profondes. Des gorges très profondes qui me font baver et qui me coupent la respiration. Heureusement que je n’ai rien mangé à midi. Attila prend les choses en main et se montre hard, force sa queue jusqu’au fond de ma gorge et me retient quand je veux me sauver. Il me fait fantasmer et m’excite avec son comportement. Je suis folle de ça. J’oublie tout autour de moi. Je ne suis qu’à lui. Mon corps et mon âme lui appartiennent.

Son copain me doigte pendant qu’Attila me baise la gorge. Bientôt je gicle pour la première fois. Je me lève pour sucer l’autre mec pendant qu’Attila me défonce. Il va directement dans le cul et me prend bien fortement, profondément et sauvagement. J’essaie de ne pas faire trop de bruit, mais c’est difficile. Je me fais aussi baiser la chatte et je continue de sucer l’ami d’Attila. Celui-ci me fait gicler par le cul. Il a un peu de peine à bander assez durement pour me baiser, mais il compense avec sa main et me fait jouir à tour de rôle avec Attila. Je suis trempée. Mes deux trous mouillent de plaisir.

Attila commence aussi à me baiser le cul avec ses doigts. Je suis très ouverte et déjà bien dilatée. Ainsi il ne s’arrête pas et pousse sa main, m’ouvre encore plus et me glisse son poing dans mon cul. J’avais aussi envie de ça et je m’ouvre très facilement. J’explose de sensations fortes. Ce sentiment de dilatation extrême me fait monter au plafond. Je dois me mordre pour ne pas crier trop fort et ce n’est pas encore tout car la main entière dans mon cul, il me baise la chatte avec sa queue. J’ai un poing dans le cul et une queue dans la chatte. Quelle folie. C’est incroyable. Je suis remplie de partout, mes orifices sont dilatés et utilisés. C’est trop excitant. Je coule. Je jouis. Je suis aux anges.

Je m’écroule carrément par terre quand il se retire. Devant les deux mecs, à genoux, j’accueille encore leur sperme sur ma langue. Les deux jouissent dans ma bouche, sur ma langue tendue avant qu’Attila m’offre encore son jus doré et m’asperge de son urine. Je suis souillée de la tête aux pieds.

Nous sommes vidés et satisfaits les trois. On éclate de rire de mon état et aussi de l’état des deux mecs qui ont bien transpirés. En plus dans cette camionnette, il n’y a aucune serviette ni lingette en vue. On s’essuie comme on peut avec une couverture très sale et horrible qui doit être là depuis un siècle pour servir de ‘je-ne-sais-pas-quoi’. J’ai dans mon sac la moitié d’un paquet de mouchoirs. Je crois qu’il faudra que je rentre dans cet état à l’hôtel.

Je n’ai pas remarqué que Vincent est sorti plusieurs fois de la camionnette pour s’assurer que personne n’ait appelé la police, car il y a quand même des gens qui trainaient autour de la camionnette. On a eu de la chance. Quelle aventure.

Une fois de nouveau je pense que j’ai vraiment une vie de dingue. Je me sens légère et bien dans ma tête !

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