Je me réveille de bonne heure pour me préparer pour midi. Un gros gangbang m’attend. Je suis déjà nerveuse, mais je me réjouis infiniment. Mon dernier gros gangbang, organisé par Z. a eu lieu il y a 2 ans peu avant le premier confinement.

Je choisis ma tenue. Je me changerai sur place car je vais arriver en jeans. Je préfère me déplacer ni vu ni connu, en mode décontracté. Mon Uber a du retard, car il y a beaucoup de circulation. J’avais oublié le bordel habituel des rues parisiennes. Ça me rend encore plus nerveuse. Je déteste arriver en retard, mais finalement mon retard n’est pas énorme.

En m’approchant de la porte d’entrée de la Factory, je vois juste une masse d’hommes autour du bar au rez-de-chaussée. Même si je m’attendais à beaucoup de participants, c’est très impressionnant. Je ne suis même pas encore dans le local, que Z. fait quelque chose que je déteste. Il demande aux mecs de m’applaudir. Cela me met horriblement mal à l’aise. Je suis de tout de façon déjà gênée et intimidée. Il ne fallait par rajouter ça. J’ai envie de disparaître. Je dis donc juste bonjour de loin en me faisant un chemin direction la salle de bain et je lance un « Je vais me changer », sans trop oser croiser le regard des mecs de trop près. Une fois enfermée dans la salle de bain, je souffle. Je me change et je me dépêche de ressortir mais il n’y a plus personne dans le hall.

Z. a envoyé les participants au sous-sol, qui est équipée de matelas, de lits et de meubles adaptés pour des jeux d’adultes. Est-ce que je veux boire quelque chose ? Non. Je veux juste démarrer le gangbang, rejoindre les mecs et commencer les jeux d’adultes.

Z. me prend par les cheveux et me dirige vers les escaliers pour me guider en bas. Il me fait marcher à quatre pattes pour me jeter dans la foule de mecs. Ce n’est qu’à ce moment-là que je perds ma nervosité et que je commence à me sentir bien. Je ne vois que des queues, tellement de queues. Je suis entourées par les mecs et je commence directement à sucer, à tour de rôle, une belle queue après l’autre.

C’est la folie. Je ne vois pas qui je suce, qui me doigte. Doigter, je n’aime pas trop. Je le fais comprendre. Il y a tellement de queues. Je veux me faire baiser, pas me faire doigter, surtout que je n’aime pas ça en général. Mon souhait est vite réalisé. Je me fais baiser à la chaîne pendant que je continue de sucer les queues, les unes après les autres. Les premiers participants jouissent déjà sur ma figure et ma langue. À peine arrivée que je suis déjà souillée. J’adore. Je rigole. Cette situation de me retrouver en mode « chienne à disposition » m’a manqué.

Je me fais baiser en double, mais ce n’est pas évident à réaliser et parfois pas adapter à cette situation avec beaucoup de participants.

On change de place. Je me fais guider sur une sorte de table. Sur le dos, on m’attache les jambes afin que je sois à disposition, cuisses écartées, complètement immobilisée. Les mecs continuent à me baiser à tour de rôle pour la plupart dans le cul. Je n’arrête pas de sucer. Je me fais étrangler et gicler sur le visage. Un des participants aime me maltraiter les seins. Le coquin! Je le reconnais. Il a déjà participé à d’autres gangbang chez Z.. Je crois que c’est à chaque fois lui qui me marque mes seins avec des bleus. J’essaie de voir les visages des mecs. Il me semble reconnaître certains participants, mais dans la foule ce n’est pas du tout évident.

J’adore perdre le contrôle et me retrouver complètement à la merci des mecs déchaînés. Cependant je reprends toujours le contrôle quand je le souhaite, comme dans ce moment où un des invités veut me faire un cunnilingus. « Mais non ! Ce n’est pas le moment, là! ». Je le remets tout de suite à sa place et lui propose de me faire plutôt un fist.

Je le guide. Je lui explique comment faire. Après lui, encore deux autres coquins ont le droit de me fister. Dont Masterslim, un fidel abonné du site, qui participe toujours très activement à mes shows lives. Je suis très heureuse de faire sa connaissance et d’avoir pu lui permettre de me faire un bon fist et qu’il puisse voir mon prolapse en vrai.

Je remarque que j’ai déjà pris pleins de queues dans mon cul. Je limite donc les fists à 3 mecs pour la suite de la partie « baise ». J’enchaîne les pénétrations anales, les bifles, les gorges profondes, le sperme sur le visage, mais aussi un gros gode dans le cul.

Peu à peu les mecs partent, car beaucoup ont sacrifié leur pause de midi pour me voir et doivent retourner bosser. À la fin, je me retrouve sur le matelas, entourée des derniers participants – peut-être une dizaine – que je suce à tour de rôle avant de me faire asperger par les derniers jets de sperme.

Je m’écroule, je rigole. Quelle folie. Je ne ressemble à plus rien. Mes yeux me font mal. Ils sont enflés par les jets de sperme.

On remonte à l’étage, et sous la douche je reçois encore une dernière douche, dorée celle-ci, de ceux qui peuvent et veulent pisser sur moi. Mmmmh, trop bien comme final bien humide et très pervers. Les mecs me demandent ensuite des selfies. Cela me fait bien rire, car j’ai vraiment l’air d’un zombie. Ils ne vont plus me reconnaître sur les photos souvenirs 😉

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