Gangbang de la Saint-Valentin à La Chrysalide (550)

Quand Kevin, le manager du club  « La Chrysalide », me demande si je suis partante pour une nouvelle soirée gangbang dans son club, je dis tout de suite « oui ». Premièrement je me sens bien dans son club que je connais depuis des années, deuxièmement j’adore les gangbangs et troisièmement ça me permet de rencontrer plein de monde que je ne pourrai pas rencontrer individuellement en privé.

Le thème de la soirée est la « Saint Valentin ». Vincent m’a offert pour cette occasion une magnifique longue robe rouge de la Maison Catanzaro. Elle est parfaitement dans le thème de la soirée. Quelques jours avant la soirée, j’ai l’idée de faire un petit show avant le gangbang. Je n’aime pas faire de shows en public, pourquoi pas faire une petite exhibition en me fistant et en me godant pour exciter les mecs présents avant le gangbang. Pour l’occasion j’utiliserai un gros gode de couleur rouge de la marque Gangbangster, ainsi que des gants en latex également rouge. Avec tout ce rouge les mecs vont être excités comme des taureaux.

Je fais connaissance avec deux blacks qui attendent également le début du show. On discute avec eux du déroulement du show et du lancement de la soirée « gangbang ». Vers minuit je ferai mon petit show avec le gros gode rouge sur le bar en plein milieu de la discothèque. Pour cette partie je me changerai, car la longue robe rouge n’est pas adéquate pour me goder et me fister. Les deux mecs blacks, déguisés en membres des forces spéciales, vont m’enlever du bar, me traîner à quelques mètres de là sur un matelas au milieu de la discothèque et me baiser en public. Ensuite le gangbang continuera dans une autre pièce plus discrète, où l’ensemble des clients du club pourront participer.

Il est minuit. Go, le show commente ! Dès que je me retrouve sur le bar j’ai des énormes doutes sur mon idée. Qu’est-ce qu’il m’a pris ? Je sais exactement que je ne me suis jamais sentie à l’aise pour me produire sur scène, mais bon le « show must go on ». Je me fiste moi-même, je me gode et je demande à deux spectateurs de m’aider à tenir le gode et de me baiser avec. Comme toujours je ne suis pas sûre de moi et j’ai des doutes si cela plait, si cela ne choque pas ou si je ne suis juste pas ridicule au milieu du monde. Ah, ces éternels doutes qui ne me quitteront jamais …

Quand les deux mecs en mode « policiers » me rejoignent pour me faire descendre du bar et me guider sur le matelas qui se trouve au centre de la discothèque, je suis soulagée. Mais ce sentiment ne va pas durer longtemps, car mes deux complices d’un soir ne bandent pas du tout. On est censés offrir une baise en direct et rien ne bouge dans leur pantalon et même en m’appliquant je ne peux rien y faire !!

Je me tourne donc vers un des spectateurs. Celui qui m’a godé en premier. Il a l’air en pleine forme et il est très motivé. Il bande dure et je le suce vigoureusement. Je sens que les mecs dans le club sont tous très chauds. On se déplace tous dans la pièce aménagée pour le gangbang.

Arrivée dans la pièce, le gangbang continue. Les mecs sont décidés et assurent grave. C’est un vrai gangbang comme je les aime. La configuration de la pièce fait que les plus timides ne peuvent pas vraiment approcher mais leur tour viendra. Je sais par expérience qu’au début d’un gangbang tout le monde veut prendre sa place et tout le monde se pousse pour me toucher ou me baiser. Ça ressemble à une mêlée au rugby, mais plus le temps passe plus il y a de la place. Si on est timide, il faut juste attendre que la place se libère et rassure-toi j’attends toujours que tout le monde soit passé. Je n’arrête jamais un gangbang avant.

Dans la pièce il y a même un fan très sympa en chaise roulante qui se met tout près du lit pour ne pas louper une miette. Je m’occupe bien sûr également avec plaisir de lui. Il est aux anges et je suis heureuse de lui offrir ce moment.

Les deux complices black, que le club avaient organisés, sont également là et veulent absolument montrer leur savoir-faire. L’un d’eux essaie de créer une ambiance + hard en demandant aux participants de m’offrir des fessées ou en demandant de me baiser plus sauvagement, mais on ne peut pas créer artificiellement une ambiance.

Je passe un superbe moment avec des participants motivés et très sympas. Je me fais bien baiser et à la fin on m’asperge de beaucoup de sperme.

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Je tiens à préciser que l’on ne peut pas « forcer » l’ambiance d’un gangbang. Celle-ci dépend des participants et on ne peut pas créer une ambiance « artificiellement ». Cela dépend de la constellation des personnes présentes, s’il y a davantage de personnes timides ou non, s’il y a des complicités ou non…  

Les complices blacks voulaient certainement reproduire des gangbangs qu’ils ont vu dans mes vidéos ou des vidéos et prouver qu’ils peuvent refaire la même chose. Il ne faut jamais faire ça, car on n’arrive jamais à reproduire une situation. Le plus important c’est juste d’être soi-même, de s’amuser sans prise de tête et sans vouloir prouver ou réussir quelque chose. C’est en étant soi-même que l’on prendra le + de plaisir !

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