La vidéo, datant de 2014, présente une qualité peu optimale en mode plein écran.
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Je retrouve dans mes archives les rares images d’un show en discothèque que j’ai fait en 2014. J’en parle dans mon livre autobiographique ‘Fais-le bien, et laisse dire » dans le chapitre « Soirée Jacquie et Michel au Must club »:
(…) Fin janvier, je suis invitée à participer à une des premières soirées Jacquie et Michel. Je suis enchantée et je ne réfléchis pas une seconde pour rejoindre l’équipe afin d’animer une soirée dans une discothèque.
Samedi matin, je peux tranquillement faire ma valise et prendre ma douche, car junior est depuis vendredi soir chez mes beaux-parents pour y passer le week-end. Cela fait longtemps qu’il n’y est plus allé et ils sont contents de le retrouver. Je peux partir le coeur léger.
En route pour la soirée Jacquie et Michel, je prends la décision de m’arrêter à Genève pour un rendez-vous de midi coquin. La décision s’est prise seulement samedi matin. Je rencontre dans un hôtel du quartier de Plainpalais deux jeunes blacks. C’est une pause très agréable et amusante sur le chemin de la soirée.
Comblée sexuellement et d’excellente humeur, je pour – suis mon chemin jusqu’à Saint-Galmier, un village perdu à côté de Saint-Etienne. En arrivant je suis contente de me détendre au bar de l’hôtel autour d’un apéro, après avoir été sur la route pratiquement toute la journée. La jeune serveuse est super mignonne et je dis à Vincent qu’elle a le profil pour sortir ce soir dans le club.
Petit à petit, toute l’équipe de Jacquie et Michel arrive à l’hôtel. On se retrouve le soir pour aller manger tous ensemble avec un des responsables du club Le Must. Ça me fait plaisir de revoir certaines personnes que je connais déjà et de faire connaissance des autres membres, qui sont tous sympas. L’ambiance pendant le repas est déjà géniale.
Après le souper, on se change et les filles se font belles en vitesse, à l’hôtel, pour arriver au club vers une heure du matin. Il y a une queue d’attente énorme devant l’entrée et il paraît que c’est ainsi depuis le début de la soirée. Incroyable. Pour être franche, je n’aurais jamais imaginé que dans le village de Bellegarde-en- Forez se trouve une boîte si énorme et si fréquentée. Il paraît que c’est la plus grande discothèque de la Loire.
On nous fait entrer par une porte dérobée et on s’installe dans une pièce qui nous servira de garde-robe et de salle de repos, même que je n’y serai pas souvent ce soir. Avant que la soirée ne soit lancée, mes sentiments s’entremêlent entre le fait d’être excitée et celui d’être nerveuse, mais surtout un peu perdue. Je ne sais pas comment la soirée se déroulera, et en plus je n’ai pas l’habitude de faire des shows, de me produire sur scène ou d’animer une soirée. Mais une fois sortie de la garde-robe, devant la foule et en train de danser, j’oublie tout autour de moi. Je ne réfléchis plus et je me sens comme un poisson dans l’eau.
C’est comme une grosse vague d’émotions qui m’emporte, ainsi que l’excellente ambiance des clients déchaînés qui me pousse. C’est de la pure folie. Tout le monde est fan de Jacquie et Michel et ils sont vraiment super chauds de nous voir. Cela me booste et on ne peut plus me freiner ni les autres filles d’ailleurs.
Cédric nous a expliqué après le souper le déroulement prévu de la soirée. Au début on suit ses instructions pour lancer des t-shirts, casquettes et lunettes. Mais très vite, les filles de l’équipe sont carrément déchaînées par l’ambiance et ça part un peu dans tous les sens. Je n’arrête pas de danser et d’allumer les jeunes mecs présents. J’ai pris plusieurs tenues avec moi, mais pour finir je ne suis qu’en string. Je danse avec les autres filles. On s’embrasse, on se caresse, on enchaîne des petites scènes lesbiennes, on joue avec des glaçons. Je commence à mettre des glaçons dans ma bouche et ma chatte, et à les distribuer. Je me penche pour laisser les mecs me toucher les seins, les fesses, la chatte. Ça les rend fous.
Je reste debout en train de danser pendant toute la soirée et je me retire juste pour boire un verre d’eau et me reposer quelques minutes. À la base on devait faire un grand show lesbien, mais dès le départ on n’a pas arrêté de faire plein de minishows. On n’arrête pas avec les filles. C’est le délire, et vers la fin de la nuit je me retrouve même complètement nue à danser lascivement devant les portables de tous les clients. Les autres filles suivent et on se retrouve toutes entièrement nues. L’ambiance est bouillante. Une pure folie, ou comme quelqu’un le dit, c’est la guerre. Je n’ai jamais vu ça et je crois que beaucoup d’autres non plus. Il faut être sur place pour le croire.
Petite anecdote de la soirée. J’ai retrouvé la serveuse de l’hôtel et on a fini par danser ensemble, s’embrasser et s’enlacer longuement.
Je me couche exténuée à 7 heures du matin et à 9 heures 30 je ne peux déjà plus dormir, toujours excitée par la soirée. Je prends une bonne douche pour me réveiller et profiter de la superbe chambre d’hôtel pour faire des photos glamours. J’ai mal partout à force d’avoir dansé toute la nuit.
Après un café avec une partie de l’équipe déjà debout, je reprends la route direction la Suisse, et le retour à une vie normale et bien organisée. (…)
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